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Baptism of Jesus




THE BAPTISM OF THE LORD, YEAR C

Introduction

GOD IS GOOD!

Dear Christians, today, we celebrate the Feast of the Baptism of the Lord. Jesus is baptized in order to reveal himself as God’s only Son. We share also in this divine family as the baptized children of God. With this spirit, let us arise and join the choir as we begin this Eucharistic celebration.

Liturgy of the Word

Ø  1st reading:           A reading from the prophet Isaiah, 40: 1-5. 9-11

The glory of the Lord shall be revealed and all mankind shall see it. The Good News is that the Lord has come. He is there. His kingdom brings liberation and forgiveness. He guides his people in the sure paths where every valley is filled and cliff laid down.   (Let us listen to the reading)

Ø  2nd reading:          A reading from the letter of St Paul to Titus, 2: 11-14. 3: 4-7

He saved us by the cleansing water of rebirth and by renewing us with the Holy Spirit. The manifestation of God, the theophany, in favour of His Son inaugurated a new stage of history of salvation.   (Once again, attentively, let us listen to the reading)

(May we arise to acclaim the Gospel)

Intercessions

1)       That the Church may effectively lead all peoples to acknowledge Christ as the Son of God, (we pray to the Lord...)

2)       That all nations may resolve their conflicts by seeking the justice and peace brought to the world by the Lord Jesus, (we pray to the Lord...)

3)       That the Christian community, made one by our common baptism, may always welcome the unborn, the stranger, and all who are vulnerable, (we pray to the Lord…)

4)       That each of us may renew the commitment of our own baptism, renouncing sin and promising to serve God faithfully in his holy Church, (we pray to the Lord...)

5)       That those who are ill may, as sons and daughters of God, offer their sufferings to him with patience and trust, (we pray to the Lord...)

6)       That those who have died may share the glory of eternal life, we pray to the Lord...

7)       May each one present to the Lord his or her needs. [ silence] (We pray to the Lord)


Est-elle glorifiée?


La Vierge Marie occupe une place très importante dans l’économie du salut. Elle est sans doute la mère de Dieu qui est venu de notre chair et a partagé notre histoire pour nous faire rentrer à la gloire céleste que le Père, le Fils et l’Esprit Saint vivent. Dans le christianisme, le culte de Marie est proprement lié au Catholicisme. D’autres traditions religieuses chrétiennes ne reconnaissent pas tellement  ce culte.

Cette réflexion m’est venue juste une semaine avant la célébration de l’Immaculée conception de la Vierge Marie. Mais ici nous n’allons pas parler de l’Immaculée conception. Car c’est un sujet pour un autre jour.  

Les amis, parlons alors un peu de la glorification de Marie aux cieux.

Beaucoup de gens tiennent que la Bible ne mentionne nulle part de ce qui s’est passé avec Marie surtout après l’Ascension du Seigneur, son Fils. Et donc d’après ce  silence scripturaire sur la vie de Marie, un grand témoin et personnage dans la vie et même la mission salvatrice de Jésus Christ, pour eux, il sera tellement remarquable  de raconter par écrit les événements surtout de sa vie.

La Vierge Marie ayant vécue avec l’Apôtre Jean, celui que Jésus aimait beaucoup, aurait été une source primordiale pour l’Evangéliste et l’Apôtre Jean quand celui-ci rédigeait son Évangile. Jean, celui que Jésus avait confié sa mère au pied de la croix, pourrait ajouter dans son Évangile le grand événement de l’Assomption de la Vierge Marie, s’il est vrai qu’elle était élevée aux cieux. Même s’il n’était pas tellement intéressé de l’historicité des événements du salut, mais plutôt à leur réflexion théologique, Jean ne pourrait pas laisser tomber ce grand événement dans l’économie du salut.

S’il est également vrai que la mort est une conséquence du péché originel, et, d’après nous les Catholiques, Marie a été conçut sans le péché originel, conformément au dogme de l’Immaculée conception, une question se pose ; pour quoi elle est alors morte ? Elle ne devrait pas donc mourir, parce qu’elle n’était pas corrompue de ce péché qui entraine la mort. Si elle n’est pas morte, elle devrait alors être élevée au ciel sans être passée par la mort comme le cas de la figure d’Eli. (cf. 2 Roi 2, 1-13). Or le dogme de l’Assomption nous dit que c’est après sa mort qu’elle est élevée aux cieux, corps et âme.

Avec ces arguments et tant d’autres, on réfute ou on trouve difficile à comprendre le dogme de l’Assomption da la Vierge Marie.

Il est vrai que l’Ecriture Sainte ne mentionne pas  cet événement de l’Assomption d’une manière claire et nette. C’est pour cela qu’il est prononcé par le Pape  Pie XII comme un dogme le 1 novembre 1950 et célébrée chaque année le 15 Aout. Il est dogme parce qu’il est une vérité à croire. Le silence scripturaire, d’ailleurs, ne montre ni une négation ni une affirmation de tel événement.

Notons qu’il y a la possibilité de l’assomption du corps après la mort et avant même la seconde avenue du Seigneur. Ceci l’on peut trouver dans la Bible. Cf. 1 Cor. 15,22-23 « De même en effet que tous meurent en Adam, ainsi tous revivront dans le Christ. Mais chacun à son rang… ». Il est aussi suggère par l’Apôtre Matthieu dans Mt. 27,52-53 « les tombeaux s’ouvrirent et de nombreux corps de saints trépassés ressuscitèrent : ils sortirent des tombeaux après sa résurrection, entrèrent dans la Ville sainte et se firent voir à bien des gens. »

Avec ces deux textes scripturaires nous pouvons trouver le fondement biblique du dogme de l’Assomption de la Vierge Marie, même s’il ne s’agit pas directement de la Vierge Marie.

L’histoire montre qu’il y a des tombeaux des autres Apôtres et même des saints. On fréquentait ces tombeaux pour soigner le corps de celui qui est mort. Ce qui est étonnant et que jusqu’aujourd’hui, les archéologues n’ont pas encore trouvé le tombeau de la Vierge Marie. C’est une preuve historique que la Vierge Marie n’était pas enterré dans un tombeau mais plutôt son corps était élevé au ciel.

On n’a même pas ses os comme on l’a pour d’autres saints. Or la Vierge Marie était tellement sainte que la première communauté des chrétiens  pourrait bien garder son corps et son tombeau après sa mort. Nous n’avons pas de preuves qu’on vénère son corps quelque part dans le monde. Voila notre foi. Bonne dévotion pendant cette année de la foi.

(Cet article a été déjà publié dans le Nouvelles Congo)