Life in the digital village


Most of the youth today are in the « digital parlor » socializing with already friends they know and making further a number of them. In fact to a good number, it seems a sign of both civilization and maturity to get involved with the most recent sophisticated digital gadgets. No wonder they spend much in this milieu.

Dan, my good friend, perturbed me for not getting down well with the facebook! I in fact pitied him and later curiously searched his profile on facebook just for a miracle to find him there. But alas! “I have got nothing for you,” was the bold response.


Then a litany of questions raided my mind. Could he be afraid of the growing digital community? Why is he not interested yet he is a youth? What are the moral consequences of the digital community that Dan is running away from? Will this community someday die out? What’s its destiny? Are we secure in there? Are there health risks? What’s the position of the Church in matters of science and technology? What of the financial constraints involved in it…?


Three days later, answers started streaming.


No doubt the internet just like other technological products has great impact on modernity. Science and technology defines human history. Today, one cannot do without the make-ups, computers, cars, hospital facilities, piano, watch, electricity, bicycles, telephone, radio, etc. and still live a very comfortable life whether happy or not (that’s a different story for another day). They have become necessary in life to ease communication, transportation, education, nursing among many other things.


Yes life is sweet with all these things. But are we better off than the pre-technological era?


Life must have been very boring by then, isn’t it? But I am sure that to our fore relatives it was very comfortable, since we never read from history where they complained for not having sophisticated technological gadgets.


Nonetheless, technological revolution by itself is morally indifferent. Its application in daily life and consumption would then raise the moral questions. Used badly, it becomes destructive, used correctly, it becomes useful to human development. This is why the Church, as the custodian of faith and morals, would not let her flock’s faith and morals washed down by the man made things.


Faith is a gratuitous gift from God and should be nourished. The same God granted human beings the ability to conquer and subdue the world, and hence perpetuating the Divine plan and design. He gave us intellect.


The Church quiet aware of this revolution, has a moral and religious responsibility to guide and teach humanity in the proper use and disposal of the call to continue the work of Creator, science and technology as part of this work.


In so doing, she brings to consciousness the public catastrophe awaiting humanity in the immoral use of technology and the related products.


The net is one way in which human beings strive for autonomy, the bishops of the second Vatican Council recognized this fact. Autonomy in discovery and innovation, exploitation and ordering law of nature and values especially those held by religions.


Human beings want to put God aside so as to be “free” and autonomous; a freedom that is devoid of responsibility as its other side of the coin. The things of faith and those of science are God’s. The latter is a sign that human beings are indeed within the design and will of God, that is, the creatures that still are subduing the earth. Hence human beings cannot work alone without God’s intervention via religions.


As we continue the work of God, we ought to understand the meaning and value of the products we consumed are consuming and intend to consume. As youth, these products should help us pursue and fulfill to the end the vocation to Christian life. In themselves, they should not be stumbling blocks to this noble goal.


By being self conscious on their use, we transform not only ourselves but also the whole society and the digital village. Paradoxes of all kinds will always knit our social life but one ought to know that it’s what you are that matters, rather than what you have. Is it not like a leap into the dark?


Have a transformed time, will you.


Un style de vie, témoignage missionnaire.


Dans le review passé de Nouvelle Congo, j’ai partagé avec vous mes chers lectures l’expérience de se laisser changer par une nouvelle communauté. La communauté évidement est un lieu qui nous aide à améliorer nos façons de vivre et de voir la réalité. Cette fois-ci, je vais partager avec vous l’un parmi d’autres activités que nous avons eus pendant l’étude de la langue française. Il s’agit d’un parcours d’un confrère que nous vivions ensemble avec dans la communauté de Théologat, Bl. J. Allamano.

Il est exactement une année qu’on a réalisé cet exercice. Notre cher prof Richard nous avait envoyé auprès de deux pères. Raphael Ndirangu était envoyé interroger le Père Symphorien et moi au père Ramon. C’était dans le cadre de pratiquer la langue. Et donc, voici le parcours de vie de père Ramon.

Q. Qui est le Père Ramon ?
Je suis né de Damien Lazaro et Maria Esperanza Esnaola le 26 juillet 1967 en Espagne à Zaragoza, et ordonné prêtre, missionnaire de la Consolata, le 10 mai 1997 après avoir obtenu ma licence en théologie à l’Université Comellas à Madrid en 1995 et deux ans de spécialisation en spiritualité. Je suis le fils aîné parmi un garçon et deux filles.

Q. Comment était votre première mission ?
Directement, après mon ordination, j’ai été destiné en Espagne, malgré ma volonté d’aller faire la mission ailleurs spécialement en Afrique. D’ailleurs, je pensais que c’était trop d’avoir demeuré beaucoup d’années en Europe ayant y être formé. Avec beaucoup de courage, je me suis donné dans la formation comme un accompagnateur des aspirants missionnaires au séminaire. En même temps, j’étais l’aumônier des jeunes, de migrants et des immigrés. Après quelques moments, on m’a nommé un animateur de vocation toujours en Espagne, où j’ai également accompagné les laïcs.

Il a fait tous ces travaux missionnaires pendant trois ans d’où il garde encore des très bons souvenirs et de très belles expériences missionnaires.

Q. Quelle est le moment très important dans votre vie missionnaire ?
Au début de vingt et unième siècle, je suis allé à Maputo au Mozambique et y passa de très bons temps dans une paroisse pour ses vacances. Ce n’était pas ma première fois d’être ici en Afrique. En 1987, quand j’avais encore 20 ans, je me suis séjourné au Maroc pendant 15 jours. Comme en 2000, c’était aussi pour passer les vacances.

Ayant goûté des merveilles d’Afrique, le Supérieur Général m’a envoyé en Cote d’Ivoire, le pays de cacao, d’y aller partager ce goût missionnaire.

Q. Quelles sont vos sentiments sur la mission en Cote d’Ivoire ?
Mon cher, là-bas était et je crois reste encore aujourd’hui la première évangélisation, parce qu’on était parmi les musulmans qui ne croient jamais en Jésus Christ... et le village où se trouve notre mission est pleine… pleine… pleine des musulmans !

Q. Spécifiquement, quelles sont les activités missionnaires que vous y faisiez ?
Après avoir appris la langue locale, le Sénoufe, que j’ai bien maîtrisé, je me suis lancé dans les activités missionnaires suivantes :
Premièrement, j’ai fait les dialogues religieux avec les non-chrétiens. Deuxièmement, j’ai dirigé la parole sur la paix autrement connu comme la purification de la guerre, que j’avais trouvée très exigeante. Troisièmement, j’ai traduit le missale de français à Sénoufe. Quatrièmement, je donnais le catéchisme et enseignais dans une école. Et finalement, pendent la guerre civile, je soignais avec les médicaments traditionnelles des victimes de cette guerre qui se sont refugiées dans notre paroisse.

Q. Ce n’était pas trop pour vous-même ?
Avec tous ce travaux, il fallait un moment de repos pour rendre l’esprit tranquille et suivre la formation permanente, sinon, on risque d’oublier facilement qu’on est appelé d’abord à la sainteté et en suite à être un missionnaire. Un style véritable de vie de notre fondateur Bl. Joseph Allamano.

C’est ainsi qu’en 2007 je me suis rendu au Brasille à São Paulo où j’ai fait quelques cours de renouvellement personnelle durant trois mois. Après ce repos, la direction générale m’a envoyé au Congo où je suis arrivé le 26 juillet 2008.

Q. Votre impression sur la mission au Congo ?
Bien sûr avec l’environnement de grande ville de Kinshasa où il y a beaucoup d’activités qui s’y passent, je manque la nature, le tranquillité et le silence de la forêt que j’adore, mais quand même ayant un homme très amusant, je me trouve dans une communauté de Théologat, Bienheureux Joseph Allamano, Kinshasa, là où il y a autant des activités dont les prières communautaires , les sorties, les repas, les travaux manuels, les réunions, d’outres célébrations différents etc., qui me permettent de m’exprimer comme un être humain et de grandir dans l’amour de Dieu et de prochain vers la sainteté.

Merci père et que Dieu vous prenne garde et vous bénisse tous les jours de votre vie missionnaire.

this article was published in the magazine: Nouvelle Congo (a magazine of the Consolata Missionaries in Democratic Republic of Congo)

Le Consolata Triduum




Le mois de juin est particulièrement marqué des grandes fêtes pour la famille missionnaires de la Consolata. D’abord, le 20 juin chaque année nous avons la fête de la Consolata, notre fondatrice, et le troisième jour après, c’est la fête de St. Joseph Cafasso notre protecteur.
En ce qui concerne la fête de la Consolata, celle-ci est suivi d’une neuvaine, neuf jours de prière avec Marie Consolata.

Pendant ce temps de neuvaine, qui dans notre communauté de Théologat J. Allamano, Kinshasa, a débuté le 11 juin, on organise trois jours spéciaux pour le Triduum. Ce dernier est souvent clôturé par une messe qui anticipe déjà la fête de la Consolata.

Voici comment s’est passé les trois jours de Triduum.


Le premier jour, le 14 juin, il y avait une conférence qui a été donnée par la sœur Marie Jean, Missionnaire Franciscain de Marie. Elle a parcourue le thème de la Consolation dans les écritures saintes. Elle s’est basée à la consolation qui porte Marie au monde. On a accordé un temps après son exposition à diverse préoccupations de la part d’auditeurs.

Le deuxième jour, le 15 juin, était dédié à l’explication de l’icône de notre dame de la Consolata, et le chapelet missionnaire. Ce chapelet contient cinq couleurs différentes dont bleu qui représente le continent d’Océanie, verte qui représente l’Afrique, rouge qui représente l’Amérique, blanc qui représente l’Europe et jaune qui représente l’Asie. Cette explication a été faite par un représentant des amis de Consolata en RD Congo, Kinshasa. Ils sont également expliqués aux chrétiens leur travail en tant que les amis et amies de Consolata et comment s’y inscrit pour devenir un membre.


Le troisieme jour, le 16 juin, était le sommet du Triduum. Les deux jours avant devrait en fait bien préparer ce jour.


Dans le projet communautaire de vie (2010-2011) à la dimension Spirituelle et Religieuse, l’un de moyen dit clairement ; « Messe en mémoire du Père fondateur le 16 de chaque mois ». Nous avons donc célébré double fête dans une, à savoir, celle de notre fondatrice et sans bruit celle de notre fondateur. Personnellement, dés que je vois l’icone de notre dame de Consolata, je pense automatiquement à notre fondateur Bl. J Allamano. Les deux sont inespérable.

Pendant cette messe, il y avait le renouvellement de vœux en publique pour 13 mois de 19 frères. Dans son homélie, le père Boniface Sambu-Sambu, vicaire de la paroisse Bisengo Mwambe, a rappelé tous les chrétiens qu’ils sont eux aussi appelé à consoler les autres. Pourtant ils doivent être d’abord consolés eux-mêmes. Le père s’est posé une question, « comment consoler les autres quand vous-même vous n’êtes pas consolé ? » D’une manière spéciale, continue le père, les religieux sont appelles à être fidele à Dieu à travers les trois vœux d’obéissance, de chasteté et de pauvreté.

Il a fait rappeler aux fideles que le manque des biens matériels ne suffit pas être pauvre. Pourtant, on doit être pauvre spirituellement par donner le Christ une place dans sa vie. Car c’est Jésus seul qui peut combler cette pauvreté.

On voit souvent des religieux qui possèdent des biens matériels comme des maisons, des belles voitures, etc., et on reste au niveau physique en les admirant, mais tous ceux-ci doivent les aider à accomplir la mission de Dieu ici bas. Les biens matériels ne sont que des moyens pour mieux répondre à l’appel de Seigneur.

Cette messe a été célébrée par le père Urbanus Mutunga Ndunda, curé de la paroisse Bisengo Mwambe et le conseiller régional. Ayant être délégué par le supérieur régional, qui est à Rome pour le XIII Chapitre, il a reçu les vœux de 19 frères.










(Cet article a été publié dans le cite de missionnaires de la Consolata, le lundi 20 juin 2011. http://www.consolata.org/ )